Mathias a complètement râté la prémisse de l’article de Athletic, sur celui-là…. Athletic fait l’exercice de classé les 1er choix en fonction de leur évaluation respective au moment de leur repêchage respectif. À la lumière de cette condition, que Slatkovsky se classe dernier est loin d’être surprenant. Les spécialistes étaient nombreux à ne même pas s’accorder sur qui serait le 1er choix de son repêchage…
FakeCrash
L’article en question a déjà été publié ici puis supprimé. Mathias Brunet est tombé dans le même piège que tout le monde. Le titre fait croire que c’est simplement un classement des premiers choix au total, mais le texte explique que c’est le classement de la valeur perçue du joueur **avant** son repêchage. Slaf est en dernier parce qu’il n’avait pas beaucoup de *hype* avant d’être repêché. Il avait juste 5 buts et 5 passes en 31 matchs en Liiga, et à peu près personne ne le voyait être repêché premier. Admettre qu’on le projetait souvent premier au total est du révisionnisme.
En rétrospective, Lafrenière déçoit, mais il avait obtenu 112 points en 52 matchs avec l’Océanic. Le hype était beaucoup plus là qu’avec Slaf. C’est tout.
Fr4nk001
L’article de the athletic est pas top non plus, Lafreniere était très, très hype à son année de draft
Il faut vraiment pas s’en faire avec ce type d’article. Slaf est FAIT pour jouer dans un marché comme le nôtre et son rendement est simplement incroyable. Faut arrêter de regarder chez le voisin et apprécier ce qu’on a.
Note a part, Slaf est premier dans les tirs bloqués pour les attaquants et je crois top 3 dans les mises en échec (pour les Habs évidemment). On a encore rien vue de lui
Ill-Ad3660
L’article parle de « au moment de leur repêchage » dans ce sens là je suis quand même d’accord.
coldmindpsy
Tout ce que je retiens de la totalité des deux articles, c’est que notre management et équipe de repêchage on vu des choses que la personne moyenne ne voit pas et qu’ils en sont meilleur pour ça. Je comprends que Slaf n’était pas *le* joueur de sa cuvée mais il est certainement en train de le devenir. Juste ajuster les attentes avant le draft et leur laisser le temps de cuir au four. L’exercice est quand même intéressant comme amuse-gueule I guess
Yell0wone275
Matthias semble bien comprendre larticle. Il parle de comparer “le buzz” dans le 3e paragraphe.
7 Comments
Mathias a complètement râté la prémisse de l’article de Athletic, sur celui-là…. Athletic fait l’exercice de classé les 1er choix en fonction de leur évaluation respective au moment de leur repêchage respectif. À la lumière de cette condition, que Slatkovsky se classe dernier est loin d’être surprenant. Les spécialistes étaient nombreux à ne même pas s’accorder sur qui serait le 1er choix de son repêchage…
L’article en question a déjà été publié ici puis supprimé. Mathias Brunet est tombé dans le même piège que tout le monde. Le titre fait croire que c’est simplement un classement des premiers choix au total, mais le texte explique que c’est le classement de la valeur perçue du joueur **avant** son repêchage. Slaf est en dernier parce qu’il n’avait pas beaucoup de *hype* avant d’être repêché. Il avait juste 5 buts et 5 passes en 31 matchs en Liiga, et à peu près personne ne le voyait être repêché premier. Admettre qu’on le projetait souvent premier au total est du révisionnisme.
En rétrospective, Lafrenière déçoit, mais il avait obtenu 112 points en 52 matchs avec l’Océanic. Le hype était beaucoup plus là qu’avec Slaf. C’est tout.
L’article de the athletic est pas top non plus, Lafreniere était très, très hype à son année de draft
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Il faut vraiment pas s’en faire avec ce type d’article. Slaf est FAIT pour jouer dans un marché comme le nôtre et son rendement est simplement incroyable. Faut arrêter de regarder chez le voisin et apprécier ce qu’on a.
Note a part, Slaf est premier dans les tirs bloqués pour les attaquants et je crois top 3 dans les mises en échec (pour les Habs évidemment). On a encore rien vue de lui
L’article parle de « au moment de leur repêchage » dans ce sens là je suis quand même d’accord.
Tout ce que je retiens de la totalité des deux articles, c’est que notre management et équipe de repêchage on vu des choses que la personne moyenne ne voit pas et qu’ils en sont meilleur pour ça. Je comprends que Slaf n’était pas *le* joueur de sa cuvée mais il est certainement en train de le devenir. Juste ajuster les attentes avant le draft et leur laisser le temps de cuir au four. L’exercice est quand même intéressant comme amuse-gueule I guess
Matthias semble bien comprendre larticle. Il parle de comparer “le buzz” dans le 3e paragraphe.
Je ne vois pas cest quoi le problème.