Nouvelle interview de Buchnevich, quelques extraits

En tant que locuteur natif, j’ai traduit ici quelques extraits de son interview https://youtu.be/kNI-JHUzhqk

Le processus de contractualisation s’est déroulé sans problème. L’organisation était vraiment intéressée par lui et voulait du 8×5 ; il a demandé du 8×6, et ils ont facilement accepté.

Le manager a promis que l’équipe serait compétitive et qu’il n’y aurait pas de longue reconstruction. Tout dépendra du noyau dur de l’équipe (Kyrou, Thomas, Schenn, Parayko, Buch), et il faudra jouer mieux qu’avant.

La direction lui a demandé s’il était prêt à être pivot. Si oui, ils essaieraient de recruter des ailiers. Sinon, ils trouveraient un ailier et un pivot. Buch a déclaré : "Trouvez le meilleur joueur possible. Je jouerai au centre si nécessaire."

Sur le centre de jeu :

Il se met vraiment en colère quand il perd une mise au jeu, parfois c’est encore plus frustrant que quand l’autre équipe marque. Il travaille là-dessus avec Steve Ott.

Lorsqu’il jouait contre les Rangers et qu’il perdait cinq mises au jeu consécutives, Tarasenko et Panarin se moquaient de lui sur la glace en disant : « Hé mec, gagne au moins une mise au jeu. »

JT Miller le regarda jouer au centre et dit : "Hé mec, qu’est-ce que tu fais ici ?"

Giroux, qui est vraiment bon dans les mises au jeu, a déclaré : "Hé, chérie, regarde-moi. Je vais jouer de mon bâton comme ça maintenant, essaie-moi" – Et vous savez qu’il ne ment pas, et vous perdez toujours la mise en jeu parce que des gars comme Giroux travaillent très dur, regardent beaucoup de vidéos sur les mises en jeu et ont des compétences depuis l’enfance.

À propos de Kuznetsov jouant au centre : il se montre souvent, fait des bêtises, et perd toujours la face, haha.

Parfois, il se fâche contre les arbitres, mais dans l’ensemble, la communication avec eux est bonne et positive, ils plaisantent aussi, comme, "Hé, on ne peut pas gagner une mise au jeu, hein ?"

Sur le transfert de NYR : C’était juste une affaire, rien de personnel. Finalement, il est content d’être à St. Louis. Cet échange a changé sa carrière, il a rencontré beaucoup de bonnes personnes là-bas et s’est fait des amis dans l’équipe.

Sur les rumeurs de la date limite des échanges : c’était possible, mais le prix pour lui était vraiment élevé. La rumeur disait que c’était l’équivalent de trois choix de premier tour (un prospect et des futurs choix).

Souvent sérieux/en colère pendant le jeu mais complètement différent en dehors. L’équipe connaît bien son comportement.

Lors d’un dîner d’équipe, j’ai fait un pari avec Tucker : s’il marquait 10 points ou plus, Toropchenko en a entendu parler, est venu voir Buch et lui a immédiatement serré la main en disant : "Parions que j’obtiendrai 25 points" 3 000 $ ? Marché conclu. Buch répondit : "Bien sûr, si tu perds, tu m’achèteras des steaks dorés chez Nusr-Et."

Il a appelé Barbashev à propos de ce pari, et Barbashev s’est moqué de Toropchenko en disant : "Tu es fou ? 25 points ? Ça n’arrivera pas" Toropchenko était triste, comme, "Mes amis ne croient pas en moi."

Sur les similitudes avec le joueur de tennis Daniil Medvedev : il a visité l’US Open avec Namestnikov, qui a plaisanté, "Regarde, ton frère joue." Il admet qu’ils ont des expressions similaires lorsqu’ils sont en colère et marmonnent.

Il a beaucoup joué à Dota depuis qu’il a 13 ans. Il a une routine. S’il s’agit d’un match à domicile, il s’entraîne, déjeune, joue à Dota, dort, puis va à la patinoire pour le match.

Sur les bagarres : Quand il était jeune, ça arrivait souvent. En vieillissant, c’est plus rare, mais quand ça arrive, c’est amusant, et après le match, les adversaires disent souvent quelque chose comme "Putain ouais mec, bon combat".